Le Conseil de Prud'hommes de RENNES lui avait donné raison. L'employeur a relevé appel du Jugement.
La Cour d'Appel de RENNES reconnaît l'existence du harcèlement moral et octroie des dommages-intérêts à la salariée.
La salariée obtient également gain de cause sur les heures supplémentaires, le travail dissimulé et le dépassement des durées maximales de travail.
Il est enfin jugé que, compte tenu des manquements graves de l'employeur à ses obligations, la rupture du contrat de travail doit produire les effets d'un licenciement abusif. La Cour a condamné l'employeur à verser des indemnités à la salariée pour les préjudices subis.
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